Pour Charles Egly, Prêt d’Union propose à ses clients qui sont autant des prêteurs que des investisseurs du crédit à la consommation bien rémunéré à la hauteur des besoins de tout un chacun. Or, cette rémunération a été autrefois monopolisée par les banques jusqu’à ce que les start-up comme Prêt d’Union arrivent sur le marché. Pour Prêt d’Union, il s’agit d’une nouvelle classe d’actif, un produit novateur que la start-up ne voudra surtout pas exposer aux fluctuations du Bitcoin. Cependant, ce système pourrait être intéressant dans la mesure où il reste une simple solution de paiement qui va permettre aux investisseurs l’alimentation de leur compte au moyen du flux Bitcoin. L’inconvénient de Bitcoin est avant tout le fait que les banques centrales ne le reconnaissent pas encore comme véritable monnaie électronique. A cause de cela, il s’aventure un peu en clandestin dans le système financier et c’est valable dans plusieurs pays du monde. Or, pour Charles Egly, le Bitcoin a un bel avenir devant lui. La régulation des plateformes de Bitcoin serait un grand et premier pas vers sa réussite.
Pierre-Antoine Dusoulier, Directeur de Saxo Banque, une banque plutôt axée sur le trading, voit les choses avec une vision plus élargie. Puisque Saxo Banque dispose de plusieurs plateformes de trading et aime se développer, évoluer dans le trading. Pour Saxo Banque, le Bitcoin est alors une bonne alternative autant en tant que protocole de paiement que crypto-monnaie. Il est vraiment possible que Saxo Banque intègre Bitcoin étant donné ses activités sur le trading. Par le fait que Bitcoin est un protocole de paiement et grâce au fait que c’est un système novateur, il est, selon Pierre-Antoine très malin de l’intégrer dans un établissement de crédit dans la mesure où celui-ci veuille innover et aller de l’avant avec la technologie. Cependant, il est recommandé de protéger les emprunteurs des fluctuations de la devise Bitcoin. Bitcoin est une technologie révolutionnaire, son avenir est sûr même s’il n’arrive pas encore à vraiment s’imposer dans le système financier actuel. Tout comme Charles Egly, le n°1 de Saxo Banque recommande fortement la régulation de cette monnaie virtuelle qui certainement serait un grand pas vers sa réussite.