
Le grand perdant de la crise reste les actions qui sont boudées par les français de par les risques encourus. Ainsi, les actions et obligations ne sont plus sollicités et seulement 20% des ménages en ont actuellement contre 25% en 2004. Le plan d’épargne en actions (PEA) a également fait les frais de la crise et a reculé depuis 1992, date de sa création. C est tout dire. La crise économique a changé le s habitudes et leur façon d’épargner des ménages français qui jouent davantage la carte de la prudence en se concentrant sur des valeurs sûres comme la pierre ou le Livret A.